Le 1er octobre 2024, les élèves de l’UPE2A et une classe de 6e sont allés voir un spectacle à Boris Vian : Farëkoto. Ce conte proche d’Hansel et Gretel, est une version malgache, mêlant dans ce spectacle, danse, mots et vidéos. Les élèves ont été captivés par cette version donnant à voir une chorégraphie hip-hop qui exprime le handicap comme un véritable langage du corps.
Voici quelques mots des élèves de l’UPE2A :
- As-tu aimé ce spectacle ? Pourquoi ?
« J’ai aimé ce spectacle car il avait l’air réel : le feu, le décor avec la forêt, les personnages Fara et Koto, les papillons qui volaient. » Hamidou 4e3
« Oui j’ai adoré le spectacle parce que les artistes dansaient très bien. » Alisa 6e8.
« J’ai aimé car l’histoire est réaliste : deux frères et sœurs sont pauvres et sont perdus dans la forêt. On entend leur mère dire : -Ne laisse pas ta sœur toute seule. Les enfants essaient de retrouver leur chemin et de s’en sortir. » Yamina 4e3
« J’ai beaucoup aimé parce que les acteurs- artistes dansaient très bien : leur technique est un mélange de break dance, de danse contemporaine, de pop-up. La danseuse est très souple. » Gwladys 5e2.
« J’ai aimé cette histoire très bien menée : on comprend bien les mouvements des danseurs et comment ils évoluent dans le décor. » Gabriela 5e6.
- Qu’est-ce que tu as préféré ? Qu’est ce qui était le plus intéressant pour toi dans ce spectacle ?
« J’ai préféré les lumières : avec toutes les couleurs qui représentaient la forêt, les arbres, l’apparition des loups, les papillons qui volaient, l’orage … et ces lumières étaient accompagnés de sons qui nous mettaient dans l’ambiance, on avait l’impression d’y être. Il y avait aussi des voix : les parents de Fara et Koto, les frères et sœurs restés avec leurs parents. La mère parlait français et le père parlait sûrement malgache car c’est un conte populaire de Madagascar. » Gwladys 5e2
« Ce qui est intéressant c’est qu’on a un mélange de spectacle de danse et d’un conte très connu : Hansel et Gretel. » Gabriela 5e6.
« J’ai préféré la danse et aussi les enfants sont courageux car ils sont pauvres et ils ont un handicap mais ils arrivent à survivre dans la forêt et Fara arrive enfin à marcher. » Maimouna 4e7.
« J’ai l’impression que Fara et Koto ne forment qu’une personne car Fara peut parler pour son frère muet et Koto peut marcher pour sa sœur Fara. En plus on voit qu’ils sont complices, ils dansent de façon proche, il la porte, ils tournent ensemble, sautent ensemble etc. Ils sont unis. » Gwladys 5e2.